Les incontournables du Japon III : La cérémonie du thé

La cérémonie du thé

Introduction :

« The tea ceremony requires years of training and practice… yet the whole of this art, as to its detail, signifies no more than the making and serving of a cup of tea. The supremely important matter is that the act be performed in the most perfect, most polite, most graceful, most charming manner possible. »

— Lafcadio Hearn

Traduction : « La cérémonie du thé requiert des années d’entraînement et de pratique… bien que l’ensemble de cet art, comme ses détails, ne signifie pas plus que faire et servir une tasse de thé. La chose la plus importante consiste à ce que l’acte soit réalisé de la manière la plus parfaite, la plus polie, la plus gracieuse et la plus charmante possible. »

Description :

La céréomie du thé au Japon est appelé chanoyu, sadō ou encore chadō.La religion bouddhiste zen a influencé ce rituel où un praticien expérimenté sert du thé vert en poudre, le matcha à des convives dans un cadre apaisant et calme.
Chanoyu veut dire littéralement " eau chaude pour le thé" et designe le rituel seul. [i] sadō ou chadō, qui veut dire " le chemin du thé", se rapporte à l'étude de la cérémonie du thé. Subtile n'est-ce pas ? Pour jouer encore sur la subtilité, pour nommer la cérémonie complète on utilise le terme chaji avec un repas léger, le kaiseki, le thé léger ; usucha et le thé lourd ; koicha. Le rituel complet dure environ quatre heures. Il y a aussi le chakai, "rencontre autour du thé", qui ne comprend pas le kaiseki, le repas léger.

Le praticien de la cérémonie du thé vient d'une école où on lui a enseigné la production et les différents types de thé, la calligraphie, les arrangements floraux, les céramiques, l'encens, les kimonos et doit être familier avec beaucoup d'autres disciplines et arts traditionnels. Apprendre la cérémonie réclame en général toute une vie.

Les invités doivent également avoir un minimum de connaissances du sadō ainsi que les gestes à effectuer et les phrases dire, la bonne manière pour boire le thé et la tenue générale à adopter.

Le 1er décembre de chaque année se déroule dans les jardins du sanctuaire Shintô Kumano-jinja (Kyoto), le festival de la cérémonie du thé.

ouaou ! super sujet !!!
Ca me donne vraiment envie de participer a une ceremonie du thé un jour !
Merci Dreamgirl !

superbe ta rubrique bisou

Origine :

C'est au IXème siècle que le thé fut introduit au Japon par un moine bouddhiste chinois. En Chine, le thé était déjà connu depuis des milliers d'années. Le thé gagne en popularité auprès des japonnais et la culture locale se développe. Boire le thé devient une coutume d'abord pour la médecine et ensuite par simple plaisir. La Chine connaît le même engouement. Ainsi, au début du IXème siècle, l'auteur chinois Lu Yu , influencé par le bouddhisme et par l'école qui deviendra plus tard l'école Zen, écrit le Ch'a Ching, Le classique du thé. Il traite dans cet ouvrage de la culture et de la préparation du thé. Il aura une forte influence sur le développement de la cérémonie du thé au Japon.

Le XIIème siècle accueille le matcha. Le thé vert est sous forme de poudre et provient du même arbre qui donne le thé noir non fermenté. Sa première utilisation est religieuse dans les monastères bouddhistes.
Les samouraï au XIIIème siècle, commencent à préparer et à boire le matcha. Dans un premier temps, seule la population riche est touchée par ce phénomène.

La cérémonie a été développé comme une "pratique de la transformation" et sa propre esthétique est mise en place.

Le XVIème siècle répand le fait de boire du thé à tous les niveaux socials japonnais. La figure historique à retenir est Sen no Rikyū. Il introduite le concept de ichi-go ichi-e , qui signifie "une fois, une rencontre". C'est une croyance qui enseigne que chaque rencontre devrait être considérée comme un trésor qui ne pourra jamais se reproduire. Cela permet le développement complet du sadō. Il transmet les principes de l'harmonie (和 wa), du respect (敬 kei), de la pureté (精 sei) et de la tranquillité (寂 jaku). Ces principes sont encore au centre de la cérémonie du thé aujourd'hui.

Super interessant ! Voila encore un art qui n'est pas aussi simple qu'il y parait. Ce que je trouve incroyable c'est que cette cérémonie pourrait juste passer pour quelque chose de banale mais en fait avec tout ce qu'il y a à faire derrière ça en devient très riche.
Merci beaucoup Dreaming girl !

Dsl il y a du avoir un bug quelque part, je répare ça tout de suite ^^ :

Ustensiles :

Il existe une gamme très étendue d'ustensiles. Un liste complète de tous les objets, leurs styles et leurs variations suffirait à remplir des centaines de pages. Il existe d'ailleurs des milliers de volume de ce type. Les composants essentiels sont :

Le chawan est le bol à thé. Essentiel pour la cérémonie du thé, il en existe de grandes variétés selon la taille et le style. Le thé léger et le thé fort sont servis dans des bols différents, tout comme la profondeur du bol varie selon la saison : en été, il est peu profond pour permettre au thé de refroidir rapidement et en hiver, il est donc creux. Ce petit récipient a un prix très exhaustif ! Certains sont vieux de 400 ans et sont encore utilisés de nos jours, pour des événements exceptionnels. On distingue l'avant et l'arrière du bol. Le bol à thé (chawan) se tient d'une façon particulière. La main droite maintient le bol tandis que la main gauche soutient celui-ci avec sa paume.

Le natsume, cha-ire est la boîte à thé. Il y a deux styles basiques différents : le natsume, nommé ainsi à cause de sa ressemblance avec le fruit natsume : le jujube (illustration) et le cha-ire est lui grand et étroit et possède un couvercle d'ivoire muni d'une feuille d'or en dessous.. Encore ici, les boîtes varient de formes, de tailles et de couleurs. Chacun d'entre eux est utilisé pour des cérémonies différentes.

Le chashaku est l'écope à thé. Il est utilisé pour écoper le thé du natsume au chawan. De grands chashaku sont utilisés pour transférer le thé du natsume au mizuya ou aire de préparation. Il s'agit d'une seule pièce de bambou qui a été sculptée et ayant un nodule dans son centre. Là encore, les styles de chashaku diffèrent beaucoup.

Le Chakin : une toile blanche, qui a la forme d'un rectangle, faite de lin ou de chanvre, est utilisé pour le rituel du nettoyage du bol.

Le Fukusa est un carré de soie utilisé pour le rituel du nettoyage de l'écopé et du natsume ou cha-ire et pour tenir la bouilloire chaude et son couvercle. Il est pafois utilisé par les invités pour protéger les ustensiles lorsqu'ils les examinent, il est alors appelé kobukusa ou petit fukusa. Ces derniers ont plus d'épaisseur et sont ornés de motifs. Ils sont en général gardés dans la poche du kimono.

Le hishaku est une longue louche en bambou caractérisé par un nodule au centre du manche. Chaque saison et chaque cérémonie s'est vu attribuée un hishaku.

Le tana peut être défini par une sorte d'étagère en bois utilisé pendant la préparation du thé. Les tana varient selon leurs tailles, leurs styles, leurs fonctions et leurs matières. Selon ces critères le nom varie également.

Le chasen est le fouet à thé. Lui aussi est sculpté dans une seule pièce de bambou. Il en existe des épais ou des minces pour le thé fort ou léger.

Tous les objets utilisés pour la cérémonie sont traités avec beaucoup de respect. Ils sont nettoyés avant et après chaque cérémonie. Certains sont maniés avec des gants.

Je ne sais pas si c'est le cas pour tout le monde mais pour ma part je ne vois rien d'écrit dans ton dernier message Dreaming girl.

merci beaucoup c'est vrai que la cérémonie du thé est très gracieuse est complex surtout! il est difficile de la maitriser parfaitement! en tt cas c'est un art vraiment extra!

Les lieux de thé :

Le chashitsu est un petit pavillon isolé se trouvant au milieu d'un jardin aménagé, le roji. Il y a aussi le chaya qui est la maison de thé et désigne des commerces fréquents le long des routes et itinéraires touristiques proposant aux touristes le repos et le thé. Vient ensuite le cha no ma, pièce de la maison japonaise où l'on reçoit les invités pour servir le thé.

Le seiza :

Pour s'assoir en position seiza, on commence par s'agenouiller et on assoit ses fesses sur ses talons, puis les mains sont rangés entre les genoux. Le haut du pied est entièrement en contact avec le sol. Le seiza est la position basique par laquelle tout commence et tout finit. L'hôte s'assoit en seiza pour ouvrir et fermer la porte de la salle du thé. C'est aussi la position de base pour nettoyer et ranger les ustensiles. Les invités maintiennent cette position pendant toute la cérémonie ( ils sont bien courageux ! )
Toutes les salutations sont faite en position seiza.

N.B. : il existe des petits tabourets qui facilitent le maintient de cette position.

Pas de souci Dreaming girl et merci à nouveau !
Super interessant encore !! Décidément ce n'est pas simple du tout.
J'avais déjà vu la position seiza dans certains mangas mais je ne savais pas qu'il fallait la maintenir jusqu'à la fin de la cérémonie.
Quand au nettoyage c'est assez minutieux en fait.

regarde la ceremonie du the sur oran avec honey sempai hilarant bisou

Mdr va falloir prévenir Honey pour qu'il vienne faire un tour sur le topic de Dreaming girl. Ça lui évitera le pire pour la prochaine fois comme ça.

La cérémonie du thé :

Entrons dans le vif du sujet ! =D. Cette prestigieuse cérémonie est enseigné dans deux écoles principales ; Omotesenke et Urasenke. Ce sont les plus connues et les plus influentes, il en existe cependant des plus petites et moins connues. Ces écoles ont chacune des sous-écoles dans laquelle la méthode de préparer et d'apprécier le thé diffère selon la saison et le temps et où il est donc possible de comparer les différents styles d'instruments utilisés pour chaque cérémonie.


Si le thé est servi dans une maison de thé, les invités patienteront dans un jardin couvert, en attendant l'appel de leur hôte. Cette étape est le sumi-demae.
C'est alors qu'ils se purifient en se lavant les mains et en se rinçant la bouche dans un petit bassin de pierre. Ils entrent dans le chashitsu accroupis. L'hôte salue le tokonoma, alcôve où se situe des parchemins, des peintures ou un arrangement floral. Puis il se dirige en position accroupie près du foyer, pendant que les invités se tournent vers le tokonoma. Enfin, ils s'assoient en position seiza sur le tatami par ordre de prestige. Après une légère collation, l'hôte allume le foyer et porte l'eau dans une théière à ébullition.

Tokonoma :



La cérémonie peut être accompagné d'un kaiseki (repas léger) suivi par du sake. Dans le cas où il n'y a pas de repas, des petites friandises seront servies.

Kaiseki :



Chaque invité doit posséder sont kaishi pour la dégustation et doit ensuite le ranger dans la poche de son kimono.
Suite à ce repas, les invités retournent dans le jardin en attendant un nouvel appel de leur hôte. Cette seconde étape est le omogashi.
A l'extérieur, les invités se purifient et se lavent puis entrent à nouveau dans le chashitsu en reprenant la même place en seiza. L'hôte prépare le thé pour le présenter aux invités. Le bol est ensuite servi à l'invité d'honneur, le shokyaku, par l'hôte ou un assistant. Le service s'accompagne de courbettes entre l'hôte et le premier invité. Ce dernier se courbe ensuite devant le second invité et lève son bol pour signifier son respect envers l'hôte. L'invité tourne le bol pour ne pas boire par l'avant du bol, bois une petite gorgée, murmure une phrase prédéfinie, puis bois deux ou trois nouvelles gorgées. Puis, il essuie le bord, tourne le bol dans sa position d'origine et le passe à l'invité suivant en le saluant. Une fois que le second invité aura effectuer la même procédure que le premier invité, il passera le bol au troisième invité, etc... tous les invités doivent avoir partagé le thé dans le même bol. Une fois, cela fait, le bol est retourné à l'hôte. Il arrive que chaque invité est son bol mais le même rituel est effectué.

Le nettoyage des ustensiles se fait en présence des invités dans un ordre et avec une gestuelle précis. Les pièces sont rangés dans l'ordre exact dans lequel ils seront utilisés pour la cérémonie.
Vient ensuite, le moment où l'hôte place du thé vert en poudre dans un bol, associé à de l'eau chaude en quantité requise. Il fouette ensuite la mixture avec des mouvements prédéfinis.

Il y a peu de conversation. Il s'agit d'un moment de détente où les invités sont relaxés par les sons de l'eau et du feu, l'odeur de l'encens et du thé, la beauté et la simplicité de la maison de thé et les décorations saisonnières. Les invités sont déchaussés et il est déconseillé de se lever brusquement.

Une fois le thé bu, l'hôte nettoie les ustensiles. Le premier invité demande à l'hôte l'autorisation pour lui et les autres invités d'admirer les instruments. Puis, chacun leur tour, les invités vont procéder à l'exam de chaque instrument avec beaucoup de précaution, vu la valeur sans prix de chaque objet.

L'hôte récupère les objets, les invités saluent l'hôte et quittent la maison de thé. La cérémonie prend fin quand l'hôte les a salués.

La cérémonie dure entre une à cinq heures.

Les types de cérémonies :

Le chabako demae : appelé ainsi car les ustensiles sont pris dans une boîte spéciale ; le chabako, la boîte à thé.

Le hakobi demae : cette cérémonie est liée à celle nommé ryū-rei, mais est pratiqué dans la position seiza. Ce nom vient du fait que l'on transporte les objets nécessaires à la cérémonie de l'intérieur à l'extérieur de la salle du thé.

Le Obon temae : durant ce rituel, l'hôte place cette fois son équipement dans un plateau spécial et est recouvert par le fukusa. Sur le plateau, l'hôte prépare du thé léger et les invités sont en position seiza.

Le ryu-rei : Le thé est préparé à une table spéciale. Les invités sont réunis autour d'une unique table ou à une table à part. Ce nom est dû à la première et la dernière salutation à l'entrée de la salle du thé. Il y a en générale la présence d'un assistant, derrière l'hôte, qui a pour rôle de déplacer le tabouret de l'hôte lorsqu'il se met debout ou lorsqu'il s'assoit. Ce même assistant sert le plus souvent le thé et les friandises.

Le rôle de la calligraphie :

La calligraphie permet la sérénité et la paix dans l'esprit de l'homme. Elle doit être simple et sobre. L'homme qui entre dans la salle du thé doit prendre le temps d'admirer la calligraphie, ainsi que l'arrangement floral. Il partage ensuite son appréciation avec le maître du thé.

Le rôle des arrangements floraux :

Le style le plus simple d'arrangement floral pour les cérémonies du thé est le chabana. Le chabana descend de l'ikebana, un style d'arrangement floral nippon, qui descend lui -même du bouddhisme et du shintoïsme.
Le chabana consiste simplement à placer les fleurs de saison dans un conteneur : vases de bambou, de métal ou de céramique. Parfois, une seule fleure est utilisée, fleur qui penchera vers les invités ou qui leur fera face.

Culinaire :

La cérémonie du thé s'accompagne d'un type de repas appelé kaiseki ryori. Ce repas est normalement, strictement végétarien, mais il arrive qu'on y ajoute du poisson occasionnellement.
Le kaiseki ne se compose que des produits de la saison. Le choix des éléments qui le compose est méticuleux. Les plats sont garnis de vraies feuilles et de fleurs ce qui leur donne un aspect somptueux proche de plantes naturelles ou d'animaux.
Le repas est servi en petite portion individuelle et les invités le dégustent en position assise de seiza. Le kaisekiest accompagné de sake.


Le kimono :

Le port du kimono devrait être obligatoire par tous les participants. Mais de nos jours, cela n'est plus respecté. Il est également obligatoire pour les étudiants de la cérémonie du thé, ou du moins il l'était. En effet, à cause de leur prix exhaustif, les professeurs tolèrent que les étudiants s'habillent de façon occidental lors de leur apprentissage.
Cependant, le kimono faisait parti de l'art du mouvement pendant la cérémonie. Le kimono étant parfois à longue manche, il faut user d'agilité pour ne pas le tremper dans le thé et écarter les manches lorsque cela est nécessaire.

Les fukusa sont rangés dans le obi. Le kaishi et le kobukusa sont rangés dans la poche de poitrine du kimono. Les longues manches servent de poches et on y range le kaishi.

Les hommes portent habituellement une combinaison entre un kimono et un hakama. (chercher). Le hakama leur donne de l'allure. Les femmes portent uniquement le kimono. Tous deux portent des tabi blanches.

Hakama :


Le tatami :

Les surfaces principales des salles du thé sont en tatami. Leur disposition détermine la façon dont une personne doit marcher au travers de la salle. Marcher un tatami déséquilibre, ce qui oblige à celui qui marche à adopter une allure modérée et à garder une posture droite. De plus, il faut éviter de marcher sur les joints entre les différents pans du tatami. Le motif du tatami est circulaire autour d'un pan central qui représente une sorte de table où il est donc recommandé de ne pas marcher. Ce pan du milieu sert à la préparation du thé, à poser les ustensiles, etc...
Il y a des douzaines de lignes imaginaires et réelles au travers de la salle de thé. Elles servent à déterminer le placement précis des objets et les lignes du tatami guident les invités dans le choix de leur place assise. Une surface du tatami rend la position seiza plus confortable.

Étudier la cérémonie du thé :

Il existe au Japon des "cercles" que l'on peut rejoindre pour apprendre la cérémonie du thé : des groupes qui se rencontrent souvent et participe à une activité commune. Les écoles de la primaire à l'université proposent des clubs de thé. La plupart des cercles du thé sont tenus par l'école de thé de locale.

Un élève inscrit à l'école doit fournir leur propre fukusa, leur éventail, leur papier et le kobukasa et aussi la petite valise qui permet de ranger les ustensiles. Le kimono et les accessoires qui y sont associés sont aussi à la charge de l'étudiant. Mais aujourd'hui, vu le prix d'un kimono, les habits occidentaux sont tolérés. Le reste de l'équipement est fourni à l'école et pour ça les élèves paient leurs cours de façon mensuel.
Un élève novice commence par observer l'élève plus avancés, aucune parole n'est échangé entre eux. Les nouveaux étudiants apprennent en premier lieu la façon d'ouvrir et de fermer les portes, comment marcher sur le tatami, comment entre et quitter la salle du thé, et comment et ranger le chakin. Ce sont les bases de l'enseignement.
Une fois les bases acquises, ils apprennent la tenue à observer pendant la présence d'invités.
Et enfin, ils apprennent la préparation de la poudre de thé, à remplir la boule de thé, comment mesurer et fouetter le thé.

Source : Wikipédia et Click Japan

Dreaming girl édite tes précédents messages la prochaine fois pour poster la suite. Merci et un grand merci aussi pour toutes ces nouvelles informations !!
J'ai bien été contente d'en savoir plus sur ce sujet , j'aurais pas cru que c'était aussi méticuleux.

Oups ! ok j'ai fait ça par habitude ^^ pour que ça paraisse pas trop long ! mais promis love moon je ferai attention la prochaine fois (enfin prochaine fois dans longtemps T_T). Je vous promets de supers sujets pour mon come back, à très vite !

C'est ok pas de souci Dreaming girl.
Merci beaucoup encore pour tout tes super sujets , très sincèrement je les ai beaucoup appréciés !
Bon courage pour la reprise de tes cours !!
Bisous.

Bon prochain sujet le Japon en général

je viens de me souvenir d'une scène dans sailor moon!! la saison 03 ou bunny, camille et bourdu(usagi chibi-usa et mamoru) se retrouve dans la même pièce que Frédérique et milène(haruka et michiru)pour la cérémonir du thé t justement pour s'assoir bunny a des pieds très sensible et jne supportais pas de rester assise comme ça! camille en moins pire! donc elle se battais en donnant des petits coup a leurs pieds qui leurs faisait atrocement mal ptdr!! un épisode tordant!